L’écriture des « Lettres
namibiennes » vient de s’achever en ce mois de mai 2013. Lettres écrites
sur l’épiderme d’une terre, dans le tracé des peaux, dans l’étoffe d’une nature
qui s’éveille et s’endort dans cette puissance intemporelle où l’on finit par
entrevoir la trace des anciens.
Parmi
les lieux traversés, la Skeleton coast. Paysage lunaire qui se dénude à
l’extrême, à laisser aux mirages la seule force du vivant.
Et le regard s’égare
dans des formes singulières où la beauté aride étrangement désaltère.
La
terre a tant à dire qu’un seul ne peut saisir. Ces pas…pour que d’autres
demain.
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